C'est un ensemble de méthodes qui relèvent de ce qu’on appelle « l'apprentissage expérientiel » ou constat de performance qui signifie « apprendre en faisant ». La tâche du formateur consiste à impliquer les participants dans des situations tirées de la réalité - calquées sur elle le plus possible - pour qu'ils puissent appliquer leurs compétences et les faire évoluer au cours de la formation.
L’important dans cette méthode est que les outils utilisés soient adaptés au public formé, par exemple un jeu ou une étude de cas, un “serious game”, l’important étant que l’apprenant soit participant de son apprentissage, apportant son expérience, vécu, ressentit dans celui-ci.
Il est évident que suivant la maturité du public, on aura recours à des outils plus ou moins complexes.
L’utilisation de l’outil informatique peut être à la fois perturbatrice et constructive. Perturbatrice par ce que celle ci peut demander un temps d’apprentissage, ou constructive lorsqu’elle permet par exemple de travail avec des publics a distance ou d’apporter un côté ludique, l’utilisation d’un tableau blanc partagé par exemple comme https://skribbl.io/
Dans l’écoute active, il s’agit avant tout de bien communiquer, mais pour bien communiquer, il ne suffit pas de parler. C’est en cela que l’écoute active prend son sens car il s’agit surtout d'écouter son interlocuteur avant de lui répondre. Une écoute active signifie que votre attention se porte sur l'autre personne pour comprendre à la fois ce qui est dit et ce qui est non dit.
Cela signifie communiquer sans porter de jugement. Cela signifie aussi valider par la répetion ce qui vient d’être dit par l’interlocuteur afin de s’assurer que ce que vous avez compris est bien ce qui a été exprimé. Pour une personne qui a des difficultés avec la langue française par exemple, cette écoute active est le moyen de lever le doute sur son utilisation de certains mots qui peuvent ne pas être la votre. C’est s’assurer que l’on donne le même sens aux mots, c’est aussi adapter son propre discours à son interlocuteur (en essayant d’éviter le jargon technique par exemple).
Quelques points importants
Cette méthode a été imaginée en 1980 par Francesco Cirillo et fonctionne avec l’usage d’un minuteur pour séparer des périodes de travail de 25 minutes appelées pomodori (tomates en italien) séparées par de courtes pauses. L’idée est donc de séparer vos tâches.
La méthode de travail Pomodoro est toujours très utilisée dans les métiers du web et de la communication.
Pour faire fonctionner cette méthode, planifier, assurer le suivi, en découpant chaque étape est fondamental. Au moment de la planification, organisez les tâches par ordre de priorité en les enregistrant dans la liste et estimez ainsi les tâches et les efforts requis.